Merci, Bernard Descôteaux; le FQJI vous doit beaucoup

Merci, Bernard Descôteaux; le FQJI vous doit beaucoup

14 janvier 2024

Bernard Descôteaux est parti comme il a vécu: discrètement. Mais non sans laisser derrière lui une cathédrale de réalisations, de soutiens et de conseils, qu’il a dispensés sans compter. L’équipe du Fonds québécois en journalisme international n’a pu lui exprimer une dernière fois toute sa gratitude. Avec son humilité caractéristique, il ne lui en tiendrait sûrement pas rigueur. Mais il n’est que justice que cette reconnaissance soit exprimée et que le public québécois sache ce que lui doit le FQJI.

L’engagement de M. Descôteaux envers le journalisme et la société québécoise dépassait le cadre du Devoir, cette vénérable institution à laquelle il a voué l’essentiel de sa carrière, de 1974 à 2016. En plus du rôle central qu’il y a joué comme journaliste, rédacteur en chef, puis directeur, M. Descôteaux a en effet mis son talent et son fin jugement au service de bien d’autres personnes et organisations. Le FQJI est l’une d’elle.

Bernard Descôteaux était membre de notre comité consultatif, aux côtés de Carole Beaulieu et de Bernard Derome. Il a participé étroitement à la fondation de notre OBNL comme entreprise en bonne et due forme, en prodiguant sans retenue ses meilleurs conseils de gestionnaire, en plus de mettre à son service son vaste réseau. À vrai dire, si le FQJI a pu sortir de terre et voir le jour, c’est en grande partie grâce à lui. Il n’est pas anodin d’ajouter que c’est lui-même qui a offert son aide aux trois fondateurs du Fonds, leur donnant ainsi la confiance et les premiers moyens de réaliser leur projet. Pour nous, l’équipe du FQJI, sa discrétion n’avait d’égal que sa générosité. Nous lui devons beaucoup.

Merci, Bernard. Reposez en paix. 

L’équipe du FQJI